ogm
Doc 1 : Anti OGM Doc 2 : Rassemblement des pro-OGM
La lutte anti-OGM, pour notre parti politique, c’est :
La lutte anti-OGM, pour notre parti politique, c’est :
La lutte anti-OGM, pour notre parti politique, c’est :
Marianne Moukomel Clarté, Déléguée à l’environnement - Paris, le 17 Octobre 2004 | Les agriculteurs, regroupés à l'appel de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles (FDSEA), de la Chambre d'agriculture, des Jeunes Agriculteurs (JA) et du syndicat des semenciers du Tarn-et-Garonne, ont exprimé leur désaccord face aux actions de destructions de parcelles OGM par les faucheurs. Interrogé sur la déclaration du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo évoquant la possibilité de préparation d'une loi réglementant les cultures d'OGM par le Grenelle de l'environnement, le président des Jeunes Agriculteurs, François Martinet, a estimé que si elle "doit apporter plus de clarifications et de simplication nous sommes d'accord". "Cela permettra de calmer les esprits d'un côté comme de l'autre", a-t-il ajouté. Plus favorable au développement des OGM, le président de la Chambre d'agriculture, Philippe de Verguette, s'est élevé contre les actions des Faucheurs volontaires. "Ce n'est pas acceptable que des gens fassent des intrusions dans les champs et on a vu où cela peut mener dans le Lot (ndlr: le suicide d'un agriculteur le jour d'un rassemblement anti-OGM, début août). "Les OGM seront peut-être la solution pour nourrir une planète de bientôt huit milliards d'habitants", a-t-il poursuivi. "Ce serait dommage que la France ne soit pas dans la course et qu'on laisse cela aux grandes multinationales américaines", a souligné M. de Verguette. Article du Nouvelle Observateur |
Document 3
j'arriva aps à le mettre
Document 4 :
( que le première partie du deuxième !!! )
Document 5 :
L’autorisation des OGM en France, et dans l’ensemble de la CEE, est conditionnée par des textes européens (directive européenne 90/220 de 1990 "relative à la dissémination volontaire des OGM dans l’environnement", modifiée par l’entrée en vigueur le 17 octobre 2002 de la directive 2001/18, et règlement européen 258/97 traitant des "nouveaux aliments et ingrédients alimentaires"). Lorsqu’une société souhaite commercialiser un nouvel OGM dans un pays européen, elle doit déposer un dossier scientifique (en France, auprès des ministères de l’agriculture et de l’environnement). Deux cas sont alors distingués :
-
Si l’objectif est uniquement la recherche, une autorisation de la part du pays concerné suffit à développer l’OGM, la commission européenne est toutefois informée ;
-
Si c’est une mise sur le marché qui est sollicitée, après autorisation du pays évaluateur du dossier, les autres états membres sont également interrogés. Leur accord permet, suite à consentement écrit (publication d’un arrêté en France), la commercialisation de l’OGM dans toute la CEE.
Document 6 :
J'ai ça en plus :
dsl du retard !