Début

Publié le par Dijor

   Le soleil se levait doucement sur la baie. La brume matinale se disipait et laissait place à ce paysage féerique, celui de la mer se retirant du sable, celui de la séparation entre deux éléments, deux corps, et c'était ici qu'une histoire commença et finit... Le vent était léger, la temperature bien fraîche pour ce mois de juin, la plage était déserte, et on y découvrit un corps. Le corps inanimé d'une personne, rejeté de l'élément liquide, pour s'échouer tels un navie après tempête, tels un parasite rejeté, pour s'échoué sur cette plage déserte. La police arrivait, un groupe d'adepte du jogging se regroupaient en regardant la dépouille de ce qui fut une autre fois une âme active, qui voyait le soleil par ses yeux, qui faisait les merveilles par sa tête. Apte et prompt à réfléchir. Cette dépouile faisait pené, telle un air de violon laguissant et répétitif que j'entend en écrivant, la compasion. Cette compasion sur le visage des curieux, une compasion qui se rapprochait de la perversion, du vouloir savoir qu'était-il arrivé à cette âme déchu ! Pourquoi ces yeux d'un noir écru étaient ouvert sur ce ciel couvert ? La langue de la mer lentement se retirait, s'écartant de plus en plus du corps abandonné. Il était dans un sale état, cet homme et cette femme là, impossible de diserner, c'est pour cela que j'utilisais le mot âme pour vous peiner. Le soleil monter vers les zéniths quand la morgue est arrivé, elle a pris le corps et s'en est allé le porter où je ne sais.
  Ceçi aurait peut-être le fin de l'histoire, seulement elle continuait ! Le lendemain personnne ne trouva ni la force, ni le courage d'aller sur cette crique, cette plage, maudit par la mer, où avait été posé un résidut d'enfer. L'inspiration me court l'esprit quand cette lente mélodie tout un coup jaillit, et laisse sortir ces coups si violent, faisant le repentant de cette histoire bien peu marrente. Le temps était à l'orage, quand sur la plage un autre corps fût, pas rejeté par la mer mais par la peine. Une femme, dans les trace de la précédente âme était allongée sur le sable, son coeur arrété, alors qu'elle semblait en parfaite santé et entraint de pleurer. Quelle malédiction se passait-il ici, la police ne tarderais, mais les passants étaient interpellés. Morte de tristesse fut balayé à toute vitesse et remplacé par le légende de Mecnes. Celle-çi disait que toute mort s'en suivait par un autre décés...


La suite au prochaine épisode !
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E
vite la suite lol
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S
La suite, la suite....<br /> Je repasserai, à +
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